L’équipe

Marie Emmanuelle Aït-Saït

Elle est tombée amoureuse du théâtre et de la scène à 7 ans comme une évidence. Puis elle a découvert l’improvisation théâtrale à Paris en 2010. Elle fait également partie de la ligue d’improvisation des « Malades de l’imaginaire ». Depuis peu elle explore la discipline du doublage vocal. Elle a joué dans de nombreuses pièces comme « Le mental de la reine » de Victor Haïm ; « Faut pas payer » de Dario fo ou encore « Huit femmes » de Robert Thomas. Sa pédagogie est basée sur les émotions, le lâcher prise et la recherche de la sincérité dans l’interprétation des personnages.
Son astuce contre le trac : La respiration ou un petit shoot de vodka…
Son meilleur souvenir sur scène : Lorsque ses amis lui ont fait la surprise de venir de Bretagne pour la voir jouer
Si elle était une œuvre d’art : Un tableau du Douanier Rousseau
Son talent caché : L’imitation de Véronique Samson et de Céline Dion

Clémentine Amado

Sa première expérience se déroule sur la mythique scène du théâtre du Châtelet. A 12 ans seulement elle est choriste pour une adaptation de West Side Story. Depuis l’envie de chanter ne l’a plus jamais quittée. Elle a participé au 33ème rencontres d’Astaffort crées par Francis Cabrel, avec pour parrain Michel Jonasz. Elle prête sa voix pour le générique du dessin animé les Légendes de Tatonka. Chanteuse professionnelle et coach vocale depuis plusieurs années elle aimer partager sa passion avec ses élèves.

Son astuce contre le trac : Sauter partout et faire des blagues
Son meilleur souvenir sur scène : Chanter mes propres chansons entourée de musiciens
Si elle était une œuvre d’art : Le Portrait d’Adele Bloch-Bauer de Klimt
Son talent caché : L’imitation de l’accent québécois

Aurore Dupré Latour

Aurore tombe dans la marmite du théâtre quand elle est toute petite. Alors même qu’elle sait à peine lire, sa grand-mère lui fait apprendre par coeur et jouer des fables de la Fontaine, et c’est déjà le point de non retour. Elle monte ses premières mises en scène avec ses cousins, l’été, à douze ans, et continue, après les cours, en colonies de vacances, d’entretenir ce feu.  Après des études littéraires classiques, elle revient donc, sans grande surprise, vers ses premières amours et après deux ans d’école de théâtre et trois ans de conservatoire de comédie musicale, c’est enfin le grand bain de la vie d’artiste!
A côté du travail de jeu, d’écriture et de mise en scène, elle est également pédagogue et aime voir éclore les jeunes talents ou les personnalités plus discrètes à travers la magie de la scène. Dans son travail, elle allie les couleurs, l’humour, le rythme et la sensibilité.

Son astuce contre le trac : Un bon gros câlin collectif
Si elle était une œuvre d’art : La chanson « j’ai fantaisie » de Bobby Lapointe
Son meilleur souvenir de scène : Jouer avec 23 autres personnes dans une comédie musicale qu’elle avait écrit
Son talent caché : Connaître par coeur une grande partie du répertoire de la chanson française (très utile au karaoké)

Inès Derumaux

Inès Derumaux

Comédienne et danseuse, Inès s’exprime dès son plus jeune âge par la danse, et découvre le théâtre en milieu scolaire à l’âge de 8 ans. A 18 ans, elle décide de se professionnaliser et de s’épanouir pleinement dans sa passion et dans la vie à l’Institut Supérieur des Arts de la Scène à Paris. Elle vibrera ensuite sur les planches dans diverses pièces contemporaines à Paris, Orléans, Avignon, en Allemagne et en Tunisie, mais aussi par la danse dans les coins les plus reculés du monde, tout en donnant divers ateliers théâtre aux enfants.

Elle aime guider et voir éclore chaque personnalité par le plaisir du jeu et l’incarnation de personnages.

Son astuce contre le trac : fermer les yeux, respirer, s’oublier soi-même et plonger dans son personnage
Si elle était une œuvre d’art : Sensation, d’Arthur Rimbaud
Son meilleur souvenir de scène : À 14 ans elle joue un martyr maltraité et traîné en laisse dans « Marquis de Sade » de Gregor Seyffert, auprès de grands danseurs de ballet en Allemagne
Son talent caché : Faire sursauter les gens par un simple éclat de rire (ou en mettant son pied derrière la tête)

Vincent Leconte


Après un premier « coup de foudre » pour la scène au lycée, c’est suite à des études de sciences politiques et de journalisme que Vincent Leconte se lance dans le théâtre. Diplômé de l’Ecole Internationale de Théâtre Jacques Lecoq en 2018, il a cofondé avec d’anciens camarades une compagnie jeune public : Les Machinistes. De 2019 à aujourd’hui il participe à de nombreux spectacles d’improvisation comme Fushigi!, qui présente des histoires improvisées à la manière de Miyazaki. Il intervient également comme comédien pour plusieurs structures et notamment le Collectif In Itinere (théâtre physique, interventions culturelles territoriales) ou la Compagnie Il est une Fois (enquêtes interactives). C’est en 2020 qu’il fonde la compagnie culturelle Le Navire pour porter ses propres projets. Passionné par la pédagogie, il intervient dans de nombreuses troupes de France et de Navarre..
Son astuce contre le trac : Faire l’idiot juste avant de rentrer sur scène et dire des bêtises… avec partenaires consentants bien entendu !
Son meilleur souvenir sur scène : Avoir joué à faire l’écho durant le festival Impro en Seine avec le public de la grande salle du Théâtre du Gymnase, pendant « Fushigi ».
S’il était une œuvre d’art : La quête de Jacques Brel
Son talent caché : Connaître par cœur (ou presque) « Bande Organisée »

Thamzid Mohamad


« Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles. » C’est cette citation de William Shakespeare qui a donné envie à Thamzid de développer l’amour du théâtre et de l’improvisation à ceux qui n’auraient pas la chance encore d’y avoir gouté. Thamzid Mohamad est comédien-improvisateur depuis 13 ans et enseigne sa passion auprès de jeunes primaires (8-10ans), collégiens (11-15 ans) et adultes. Ses priorités sont :
les personnages, l’imagination, les accents et la construction d’histoire.
Son astuce contre le trac : S’allonger sur le sol, fermer les yeux et se vider la tête
Son meilleur souvenir sur scène : Avoir gagné un face à face lors d’un match d’impro quand il était en 6ème face à une élève de 3ème
S’il était une œuvre d’art : Le diner de cons de Francis VEBER
Son talent caché : Faire le bruit avec sa bouche de l’eau qu’on renverse dans un verre

Eric Moscardo


Il se découvre une vocation pour le théâtre en remplaçant au pied levé un de ses élèves dans une pièce alors qu’il est assistant de français dans une université américaine. La sensation est tellement exceptionnelle qu’elle l’incite à suivre des formations de comédien professionnel de retour en France. Depuis il se produit régulièrement sur scène dans des registres différents allant de Tchekhov à Shakespeare en passant par Sam Shepard, Sergi Belbel, Büchner ou Jean-Claude Grumberg. Il tourne également dans des films et des séries sur France TV et TF1. Mais ce qu’Éric adore également, c’est transmettre sa passion. Depuis plusieurs années il accompagne enfants, adolescents et adultes dans la découverte du théâtre, avec une pédagogie vivante, bienveillante et attentive à chacun.
.
Son astuce contre le trac : s’échauffer, bien respirer et visualiser du positif
Son meilleur souvenir sur scène : Avoir joué son one-man show autobiographique « Le baobab normand » à l’ile de La Réunion
Si elle était une œuvre d’art : la trilogie de Wajdi Mouawad « Littoral / Incendies / Forêts »
Son talent caché : Son risotto aux champignons

Florine Moreau

La vie est depuis toujours un spectacle pour Florine Moreau. Danseuse, musicienne et comédienne, elle aime vivre et partager des émotions hautes en couleur. Parallèlement à sa formation professionnelle au conservatoire du Xe arrondissement, elle est tombée amoureuse du théâtre d’improvisation et de sa liberté.

On a pu la voir dans de nombreuses pièces comme Antigone d’Anouilh ou La Patiente d’Anca Visdei et dans la ligue d’improvisation des Malades de l’Imaginaire où elle pratique le match depuis 11ans. On peut la voir dans trois longs formats improvisés : Impropolar, PopFiction et Arthur et Mathilde.
Metteur en scène pétillante et exigeante, elle aime émerveiller, surprendre et émouvoir le public dans ses spectacles.
Elle enseigne l’art dramatique et l’improvisation depuis plus de 10 ans et transmet sa passion pour le mélange des arts aux petits comme aux grands.

Son astuce contre le trac : Un verre de punch et du rouge à lèvres
Si elle était une œuvre d’art : Le film Fight club pour sa construction et sa folie
Son meilleur souvenir de scène : Avoir partagé la scène avec son premier professeur de théâtre
Son talent caché : C’est un vrai cordon bleu

Jean Michel Peril

Délaissant sa formation de juriste, il suit les Cours Florent où il se passionne pour le théâtre et le cinéma. Rapidement, il enchaîne les projets en tous genres et découvre la mise en scène et l’écriture avec la pièce « Papa ou pas ? » (coécrite et interprétée par Cédric Ingard) jouée à Paris et au Off d’Avignon 2019. Il travaille aussi actuellement sur son premier one-man show et anime un plateau d’humoristes, « La Banane ».
Sa curiosité constante l’a poussé naturellement à s’intéresser à l’enseignement et au partage de ses expériences.
Son astuce contre le trac : Compter jusqu’à 3 et foncer !
S’il était une œuvre d’art : Une grimace de De Funès ou un monologue de Desproges
Son meilleur souvenir de scène : Quand il a fait rire aux éclats un amphithéâtre de 300 juristes
Son talent caché : Il cuisine et fait des cocktails !

Christophe Rouillon

Christophe découvre le théâtre un peu par « hasard » : il remplace un comédien au pied levé dans La Salle de Bain, au théâtre d’Issy-les-Moulineaux. Il accepte pour dépanner une amie… et ne ressortira plus jamais de scène. Ce premier frisson devient une passion. Il étudie plusieurs approches et se forme entre autre à la méthode Cochet, à l’improvisation, au masque, au clown, à la commedia dell’arte, à l’escrime scénique ou encore à la cascade. Il entreprend de devenir un véritable couteau suisse.

Bercé dès l’enfance par le grand cinéma, il passe son temps à imiter professeurs et membres de sa famille. Aujourd’hui encore, il voit le jeu comme une manière d’attraper la vie par surprise, avec humour, curiosité et engagement.

Bilingue espagnol, il aime la précision autant que l’excès, et croit profondément à la richesse d’un comédien « complet », libre, toujours en mouvement. Il est aussi photographe, guitariste.

Son astuce contre le trac : Boire un café noir, puis respirer comme un moine zen en écoutant de la musique.
Son meilleur souvenir sur scène : Jouer en festival dans un château… et entendre gronder le tonnerre au cœur d’une scène en forêt.
Si elle était une œuvre d’art : Un Singe en hiver
Son talent caché : Regarder une scène en terrasse… et doubler tous les personnages.